Miren Amaya Hernandez est une artiste suisse née au Venezuela. Elle vit et travaille dans la région Lausannoise depuis 1990. A partir de 2010 elle commence à travailler comme artiste indépendante et suit des cours d’histoire de l’Art à l’Université de Lausanne. Intéressée à élargir ses compétences elle a suivi une formation en moulage de céramique contemporaine à l’Haute école d’Art de Valais ainsi que des cours de photographie.
Miren a son atelier à St-Sulpice et présente ses travaux dans des expositions en Suisse et en Amérique où elle a parfois le rôle de curatrice-médiatrice. Quelques-unes de ces expositions sont :« Vous pouvez vous asseoir », « Préliminaires » (Visarte Genève), « Hissez Haut » (Visarte Vaud), « Work on paper » (ateliers de Bellevaux) , « Artistic-Approaches », IDA (Miami) ou encore Balcony Festival (Buenos Aires). Passionnée par le comportement de la lumière, elle fait appel à ses connaissances de réflexion et réfraction. La photo, le collage, la céramique, la risographie et le dessin font partie des mediums utilisés dans ses travaux. Miren prend aussi le rôle de commissaire d'exposition, son dernier projet "Work in progress " première exposition au Château de Crissier (mars 2024) a été un vraie succès. En 2016, dans son souhait de partager à travers l’art, elle décide de créer l’Association D3 pour la défense et la démocratisation de l’art contemporain. |
Démarche artistique
Mes travaux racontent notre condition humaine avec un regard en générale tendre, qui mêle légèreté et côté ludique. Dans le cas de sujets plus graves mes œuvres prennent un caractère plus sérieux.
Mon iconographie se décline en trois sortes sujets :
1- le cœur comme jardin secret et réceptacle de nos joies ainsi que de nos faiblesses.
2 - les astres, métaphore des êtres humains et ses complexes relations.
3- Les images photo déroutantes ou abstraites résultat du comportement de la lumière, elles sont en résonance avec nos sensations d’incertitude, fragilité ou perte de repères.
Extrêmement curieuse du point de vue technique, mon atelier est un terrain de merveilleuses découvertes et parfois, il faut bien avouer, d’échecs qui ne font que m’encourager à aller à la recherche de solutions.
La récupération de matériaux est au cœur de ma démarche, le carton, tissu et autres matières utilisé pour la production de mes œuvres ont déjà vécu et retrouvent une deuxième vie à travers de l’art.
La diffusion démocratique de l’art est une de mes principales motivations, de ce fait, je participe à l’organisation de projets collectifs qui ont abouti, par le passé, à des programmes culturels d’exposition collective avec médiation (visites commentées, table ronde, etc…). L’élaboration des dossiers pédagogiques de ces projets ont été une mission dans laquelle je me suis investi avec enthousiasme.
Mon iconographie se décline en trois sortes sujets :
1- le cœur comme jardin secret et réceptacle de nos joies ainsi que de nos faiblesses.
2 - les astres, métaphore des êtres humains et ses complexes relations.
3- Les images photo déroutantes ou abstraites résultat du comportement de la lumière, elles sont en résonance avec nos sensations d’incertitude, fragilité ou perte de repères.
Extrêmement curieuse du point de vue technique, mon atelier est un terrain de merveilleuses découvertes et parfois, il faut bien avouer, d’échecs qui ne font que m’encourager à aller à la recherche de solutions.
La récupération de matériaux est au cœur de ma démarche, le carton, tissu et autres matières utilisé pour la production de mes œuvres ont déjà vécu et retrouvent une deuxième vie à travers de l’art.
La diffusion démocratique de l’art est une de mes principales motivations, de ce fait, je participe à l’organisation de projets collectifs qui ont abouti, par le passé, à des programmes culturels d’exposition collective avec médiation (visites commentées, table ronde, etc…). L’élaboration des dossiers pédagogiques de ces projets ont été une mission dans laquelle je me suis investi avec enthousiasme.
